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Football

Euro: Turquie vs Italie pour ouvrir le bal, voici ce qu’il faut retenir !

Un an après la date prévue, les choses sérieuses commencent : la Turquie défie ce vendredi l’Italie au Stadio Olimpico de Rome, en ouverture de l’Euro de football. Si vous comptez regarder le match entre amis, voici ce que vous devez savoir.

Le rapport de force

L’Italie est favorite de cette rencontre et compte même d’après certains parmi les prétendants au titre final. La Squadra Azzura est métamorphosée depuis qu’elle a été privée du dernier Mondial en Russie (une première en 60 ans). Elle est invaincue depuis septembre 2018 et a remporté ses dix matchs de qualification à l’Euro, pour se hisser au septième rang du classement FIFA. Mais l’attaquant Ciro Immobile, moins performant en sélection qu’à la Lazio, devra répondre présent.

Positionnée en 29e place du classement FIFA, la sélection turque est pourtant désignée par certains analystes comme une possible surprise du Championnat. L’équipe a été la plus solide défensivement pendant les éliminatoires, avec trois seulement buts encaissés. La ligne arrière est composée de Kabak (Liverpool), Demiral (Juventus), Söyüncü (Leicester) et Celik (Lille). Devant, les yeux seront rivés sur un autre champion de France, Burak Yılmaz, au sommet de sa forme avec le LOSC.

Le duel d’entraîneurs

La renaissance de la sélection italienne est largement due au sélectionneur Roberto Mancini, dont l’objectif était de « rendre nos fans heureux et passionnés à nouveau« , en offrant un schéma plus aérien que le cadenas tactique qui symbolisait l’équipe_. « Ensuite, nous voulions donner à nos joueurs une mentalité gagnante_ », a expliqué l’ancien entraîneur du Zenith et de Manchester City. Roberto Mancini n’a pas hésité à puiser dans l’équipe Espoirs pour construire un effectif qualifié de classe « biberon », symbolisé par Nicolò Barella, Federico Chiesa et Gianluigi Donnarumma

Roberto Mancini au milieu de ses joueurs à Rome

 

En face, l’équipe turque est de nouveau sous la houlette de Senol Günes. C’est lui qui avait emmené la Turquie en demi-finale de la Coupe du monde 2002, une surprise mémorable. « C’est un match entre deux équipes fortes et je pense que la Turquie peut gagner », a déclaré l’ancien gardien de but et entraîneur du Besiktas peu avant la rencontre.

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